Dans l’ombre des sourires, des larmes coulent silencieusement. Dans la lumière de la positivité se cache parfois un océan de désespoir. L’euphorie masque régulièrement une profonde tristesse. L’enthousiasme dissimule souvent des tourments intérieurs. Dans ce monde de paillettes, tant d’étoiles s’éteignent sans qu’on le remarque. Il est possible de côtoyer quelqu’un sans jamais vraiment le connaître, sans jamais partager ses peines ni ses joies.
Dans cette ère où l’humanisme se fait rare, où le dialogue est souvent remplacé par le silence, où le partage est éclipsé par l’individualisme, tant de personnes se retrouvent seules avec leurs tourments. Les moyens de communication se multiplient, mais la véritable connexion se perd. Les âmes hypersensibles se retrouvent isolées, délaissées, parfois jusqu’au point de non-retour.
Adieu, Jean Maurice. Que ton âme repose en paix, loin des tourments qui t’ont accablé. Ton départ laisse un vide immense dans nos cœurs. Mais nous te garderons toujours dans nos pensées, dans nos souvenirs les plus précieux. Ton passage sur cette terre a marqué ceux qui ont eu la chance de te connaître, et le monde équestre te remémorera comme un Homme de cheval enthousiaste, passionné, dévoué et compétent. Tu aurais pu encore tant apporter. C’est triste que tu aies décidé de t’en aller…
Repose en paix mon ami. Toutes mes condoléances à sa famille et ses proches.